Mon poeme le titre de ma vie

Lorsque mes yeux s’ouvraient dans cette obscurité
Ma vie s’écoulait dans deux mondes opposés
Je trouvais quelques fruits
Sans couleurs et sans pitié
Chacun cherche à son intérêt
Dans ce moment
Mes jours me paraissaient sombres


Lorsque je savais la réflexion de ce train de vie
Je commençais de flotter afin d’adapter dans cette ambiguïté
Mais en vin l’essentiel c’est que je découvre certains fruits mûrs
Et je suis fier parmi ces dernières


Lorsque ma souffrance se lève dans le profond de mon cœur
Je mourais chaque soir pour renaître instantanément
Dans un univers sans dimensions
Je ressuscitais chaque matin pour retrouver le soleil


Dans mes heures de chagrin et de solitude
Ils me paraissaient amers, durs
Et lorsque je perds ma force entièrement
Je compte sur mon dieu
Celui qui m’aide, celui qui m’apporte la quiétude


Dans ce jour là, le monde me paraissait un domaine fabuleux
Je ne pourrai jamais survivre à cette douleur
Personne ne pourra soulager ma peine